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Inspirer, Guérir, Libérer au quotidien

Dernière mise à jour : 3 sept.

Les bruits de bottes résonnent à nouveau en Europe, par la folie des orgueilleux. Et face à cette organisation si puissante et coordonnée, on peut se demander que faire.


Comment agir pour la paix, éviter ce futur, cette répétition de l’horreur dont nous avons déjà tant d’images et de témoignages…


Jésus nous dirait peut-être de “rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu”.

Je trouve ce conseil d’une redoutable actualité. En effet, ces annonces de guerre, de danger imminent, d’urgence climatique, de crise permanente sont comme autant de vampires énergétiques : elles se succèdent, soumettant nos têtes et nos cœurs à une tension permanente, nous pressent comme des citrons. Nous nous inquiétons, discutons, commentons, anticipons, expliquons, recherchons… bref, nous nous agitons sous l’impulsion de cet aiguillon. Nous finissons par ressembler à des chevaux fous, lancés au galop par ces hordes médiatiques catastrophistes et ces gouvernants hystériques et mythomanes.


L’agitation stérile n’appartient certainement pas à Dieu mais bien à “César”, qui gouverne par la peur. Il est nécessaire de la lui rendre. Non pas en rejoignant un groupe de luttes (dont l’éternelle convergence ne cessera de nous ébahir), mais en rendant à Dieu ce qui est à lui.


Voici comment :

Il y a en nous des mondes subtils. Des formes de vie commensales qui maintiennent notre équilibre mental, émotionnel, énergétique, vital, corporel, quotidien. Ces mondes sont de différentes sortes mais tous sont organisés autour de notre présence.

Ils dépendent de nous et structurent notre vie d’après trois super-pouvoirs que nous avons : penser, ressentir, vouloir.


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Or, lorsque nous laissons ces idées de guerre, ces émotions toxiques, ces désirs de destructions entrer dans ces espaces intérieurs, tous nos “collaborateurs invisibles” s’activent et créent une réalité correspondante. Oui, nous sommes pour eux un peu comme des chefs d’orchestre, détenteurs du rythme et de la musique de notre vie.


“Rendre à Dieu”, c’est redonner à nos mondes intérieurs la vision du ciel bleu, large, unifié, apaisé. Tous les êtres ont besoin de cette belle présence bleue dans leur vie. Mais si notre vie intérieure n’est tournée que vers cette “actualité”, exposée à la cacophonie de ce monde de folie, elle sera carencée. Nous ne serons pas suffisamment en contact avec la grande Harmonie du monde.

Alors luttons, en rendant à Dieu ce qui est à Lui : notre vie intérieure.
“César” reprendra ce qui lui revient : notre indifférence.
Et comme il ne vit que de l’attention que nous lui portons, n’existe que tant que l’on parle ou pense à lui, la poussière retournera à la poussière.

En apparence, la marche de ce monde artificiel peut avancer et causer tous les dégâts que l’on voit, mais l’essentiel est de défendre notre territoire intérieur, notre liberté.

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Le ciel bleu de la paix est offert à chacun en rappel permanent que notre vie est un passage, des circonstances, un potentiel, un des chapitres de notre histoire d’âme. Ne laissez personne vous raconter votre histoire mais décidez d’être un porteur de paix. Vos mondes intérieurs recevront cette présence, cette contemplation, cette harmonisation.


Et vos pensées, vos sentiments, vos désirs, vos paroles, vos gestes… seront porteurs d’une sérénité universelle qui pourra toucher tous les êtres qui vous entourent, visibles et invisibles.


Dieu se donne à nous à travers la Vie.


Rendons-Lui ce qui Lui revient : notre vie intérieure. Et si certains domaines de notre vie extérieure sont partagés avec César, qu’il en soit ainsi !


Soyons en paix.


Pythagore enseignait que “l’univers conspire à notre bonheur”. Laissez le ciel bleu conspirer au vôtre, au NOTRE.

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